Photographie : Mélissa Julien : Sacrée Sophie le jeu avait reprit
sur les chapeaux de roue. Du bonheur à l'état pur, brut, natif,
volcanique, quel pied ! C'était mieux que tout. Mieux que la drogue,
mieux que l'héro, mieux que la dope, coke, crack, vis, joints, shit,
shoot, pète, ganja, marianne, cannabis, bayonne, buvard, acide, LSD,
extasy ... Mieux que le sexe, mieux que la fellation, 69, partouze,
masturbation, kama-sutra, tantrisme, evade thaïlandaise. Mieux que le
nutella, beurre de cacahuètes, milk shake, mayonnaise. Mieux que les
trilogies de George Lucas, l'intégrale des Bebettes show, la femme de
Nino, mieux que le déhanché des Moupins, Marilyn, la Schtroumpfette,
Lara Croft, Naomi Campbell, le grain de beauté de Cindy Crawford,
mieux que la face caché de la baie d'Along, et celui d'Hendrix. Mieux
que le premier pas d'Armstrong sur la Lune, le Space Mountain, la
hotte du père Noël, la fortune de Bill Gates, les NDE, la
résurrection de Lazare, les transes du Dalaï-Lama, toutes les
picouses de testostérone de Schwarzy, que le collagène dans les
lèvres de Paméla Anderson, mieux que Wood-Stock et les rave partys
les plus orgasmiques, mieux que la défonce de SAM de Rambo, Morrison
& Mandela, Castaméren. Mieux que la liberté, mieux que la vie.